lundi 16 mars 2020

Passe Passe le temps .........



Cette photographie vieille de plus de 60- 65 ans a été prise par un touriste de passage à la cité.
Elle nous rappelle le temps heureux où gamins nous nous amusions dans la Cité.


Sur la photographie nous reconnaissons Casque d'Or, Kinou, Mommejat et Pilou (Surnoms que reconnaîtrons les citadins)



samedi 7 mars 2020

Pont menant à l'entrée orientale du château





Le pont menant à l’entrée orientale du château






Pour entrer dans le château, nous avons tous franchi maintes fois le pont en maçonnerie qui enjambe la largeur du fossé (19.45 m). Mais ce pont, qui permet de franchir le fossé sans difficultés, était-il bien adapté à la situation d’une attaque au moyen âge ?

 « Initialement, l’entrée était précédée d’un ouvrage en bois à triple corps : pont dormant, pont à trébuchet, pont-levis.





1. Le pont dormant [un pont établi sur un fossé et qui est fixe] confinait à la contrescarpe ; le plancher reposait sur deux longrines scellées dans le couronnement en pierre de taille des appuis ; il était accompagné d’accoudoirs.


2. Le pont à trébuchet









[de l’occitan « trébuca », qui apporte les ennuis ; système proche de celui du catapulte du même nom de l’époque]





Il roulait à l’entrée sur un tourillon engagé dans deux bagues fixes du sommet de la première pile ; il était manœuvré à l’extrémité opposée à l’aide de liens enroulés sur un tour à bras qui occupait la tête de la seconde pile et qui permettait, selon les nécessités du moment, de précipiter au fond du fossé le bout libre du tablier ou de rétablir la continuité du passage en relevant ce même tablier dans le plan horizontal des travées jumelles.

3. Le pont-levis [pont mobile qui s'élève ou s'abaisse à volonté au-dessus du fossé d'un château fort], articulé sur l’arête du massif d’escarpe, couvrait la dernière travée. Il manœuvrait à l’aide de chaînes actionnées par un tour à bras et était équilibré par un contrepoids en forme de châssis, traversé de deux bâtardes assemblées en croix de st. André » [voir le schéma ci-dessous].





Source : POUX J. La Cité de Carcassonne III : 1° partie, Le Déclin, p. 102 et s.
Texte de JP Oppinger

mercredi 4 mars 2020

Fouilles archéologiques





Les travaux de fouilles entrepris dans le fossé allant du Pont Levis à la tour du Moulin, début février semblent être terminés.




Aujourd'hui les lices hautes sont à leur tour interdites au public de la Porte Narbonnaise à la Tour Saint Martin.


Ces recherches archéologiques semblent se situer au niveau de la tour de Castreras et de la Tour du Plô.



Nous souhaitons que ces fouilles très importantes par leur ampleur et les moyens utilisés apporteront des réponses aux questions posées et qu'elles seront dévoilées au public.
Nous nous souvenons d'un effondrement de terrain pas très loin de cet endroit, effondrement dû aux intempéries, qui avait mis au jour une voûte en pierre d'une salle ou d'un souterrain mais qui avait été immédiatement recouvert et enterré.


lundi 2 mars 2020

Réunion de Los Ciutadins






Les Citadins se sont réunis ce mois ci chez leur ami : Sieur JC de Loupia de Los Albarels pour déguster un excellent cassoulet de la Maison Cathala  à Villasavary ( 5 générations, 3 siècles d'histoire).



Le temps étant de la partie, l'apéritif fut pris sur la terrasse, un apéritif conséquent, avec traditionnelles olives lucques, magret séché, jambon de pays de l'ami André, saucisson et les Tièles Sétoises apportées par nos amis Sétois Alain et Brigitte.




Pendant ce temps le cassoulet mis au fourneau dès 11 heures, mijotait lentement, 2 heures trente plus tard il était temps de se mettre à table.


Les vins des Albarels et de Fontaine Grande étaient parfaits pour un tel repas diététique. Après les salades diverses et variées, après le fromage de la Piège, les crêpes de Jeannine, les mandarines et la blanquette de Cathy, la tarte aux pommes et Tropéziennes de Zabeth, furent servis le café et la goutte "eau de feu".