Fidèles à leurs habitudes Los Ciutadins se sont réunis pour célébrer la Chandeleur ou fête des chandelles qui était une fête populaire, païenne liée à la Lumière.
Les crèpes par leur forme ronde et dorée rappellent le soleil et le retour du printemps proche.
Ces petits repas, ces petites réunions sont toujours l'occasion de parler du bon vieux temps.
Le fameux: "c'était mieux avant".....
Nous étions jeunes et nos yeux d'alors voyaient différemment, à la Cité en particulier, nous n'avions pas grand chose; la plupart d'entre nous étions issus de familles modestes et la sociabilité était naturelle, sans contrainte, sans hypocrisie, par nécessité tout simplement.
Les personnes non intégrées dans la vie du village ne participaient pas à la fête Saint Nazaire ni au tour de l'âne point d'orgue des festivités citadines.
Lors de la soirée Chandeleur nous nous sommes remémorés certains jeux que nous pratiquions et la tentation fut grande de faire une petite démonstration sur ce jeux viril à jouer avec un maximum de garçons.
Ce jeu que nous appelions "l'ase" devait se pratiquer avec un maximum de joueurs et autant de porteurs que de sauteurs: le premier appuyé contre un arbre ou un mur tenait et protégeait la tête du premier porteur, contre son ventre, les autres porteurs se tenaient par les hanches en formant une chaîne, longue très souvent d'une dizaine de joueurs.
Les sauteurs devaient faire s'écrouler la chaîne ainsi formée, le premier devait sauter le plus loin possible et atterrir sur le dos d'un "ase", le second devait s'en rapprocher et ainsi de suite jusqu'à ce que "l'ase" s'écroule sous le poids des participants.
La démonstration faite ce soir là fut une bonne partie de rigolade pour les Boule, Guitou, Gégé, Kinou, Chanchou et autre bambino.
Les crèpes par leur forme ronde et dorée rappellent le soleil et le retour du printemps proche.
Ces petits repas, ces petites réunions sont toujours l'occasion de parler du bon vieux temps.
Le fameux: "c'était mieux avant".....
Nous étions jeunes et nos yeux d'alors voyaient différemment, à la Cité en particulier, nous n'avions pas grand chose; la plupart d'entre nous étions issus de familles modestes et la sociabilité était naturelle, sans contrainte, sans hypocrisie, par nécessité tout simplement.
Les personnes non intégrées dans la vie du village ne participaient pas à la fête Saint Nazaire ni au tour de l'âne point d'orgue des festivités citadines.
Lors de la soirée Chandeleur nous nous sommes remémorés certains jeux que nous pratiquions et la tentation fut grande de faire une petite démonstration sur ce jeux viril à jouer avec un maximum de garçons.
Ce jeu que nous appelions "l'ase" devait se pratiquer avec un maximum de joueurs et autant de porteurs que de sauteurs: le premier appuyé contre un arbre ou un mur tenait et protégeait la tête du premier porteur, contre son ventre, les autres porteurs se tenaient par les hanches en formant une chaîne, longue très souvent d'une dizaine de joueurs.
Les sauteurs devaient faire s'écrouler la chaîne ainsi formée, le premier devait sauter le plus loin possible et atterrir sur le dos d'un "ase", le second devait s'en rapprocher et ainsi de suite jusqu'à ce que "l'ase" s'écroule sous le poids des participants.
La démonstration faite ce soir là fut une bonne partie de rigolade pour les Boule, Guitou, Gégé, Kinou, Chanchou et autre bambino.
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Merci Anton de Ciutad