mercredi 30 janvier 2013
Question simple
Une question simple : " n'est il pas possible de réglementer la circulation dans les lices, en interdisant aux véhicules de circuler en dehors de la voie pavée ? "
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Décaissement des côtés et remplissage avec gravier...style..chaussée en gravier qui permet à un véhicule n'ayant plus de frein de s'arrêter ..impossible de rouler ...
RépondreSupprimerDéjà pour le stationnement (véhicule ADA à gauche), oui ce dernier ne roule pas, nous pouvons constater que la sanction est tombé (pv sur pare brise). Quant à la circulation, les usagers ont aussi des devoirs, et oui pas que des droits, et devraient avoir le respect de leur gagne pain: les touristes qui voient ce désolant spectacle!
RépondreSupprimerUne interdiction et remettre du gazon !
RépondreSupprimerLamouroux Thierry.
Le pouvoir de police du Maire lui permet de règlementer et limiter la circulation des véhicules dans la Cité, en aucun cas de l'interdire ! Avez vous pensé aux habitants, commerçants, services municipaux, aux véhicules de livraison ou d'urgence ( police, pompiers, ambulances ... ) ? la solution est dans un aménagement intelligent, adapté et règlementé et non dans l'interdiction générale de circuler qui serait illégale. Aujourd'hui, c'est le très mauvais état de la voie de circulation au centre des lices qui conduit certains usagers à emprunter les parterres, sans aucun autre jugement. Au-delà de la Convention signée avec les Monuments Historiques en 2007 qui rend la Mairie de Carcassonne responsable de l'entretien et de la valorisation des lices, l'entretien de la voirie en ville ( car il s'agit ici d'une voie de circulation autorisée par arrêté municipal ) incombe directement à la commune qui a une obligation de moyen de veiller à la sécurité de toutes les voiries situées sur son territoire, qu’elle en soit ou non propriétaire ( code des communes et de la voirie, obligation d'entretien ). La Mairie de Carcassonne a t-elle récemment présenté un projet de rénovation des lices aux Bâtiments de France ? Non. La Mairie a t-elle pris une quelconque initiative pour entretenir et préserver la voie pavée sinon à défaut veiller au bon civisme des usagers ? Non. Pour rappel, seul l'Administrateur de la Cité, M. Dedolin, prit l'initiative dès son arrivée de placer des panneaux interdisant de rouler sur les parterres, panneaux disparus depuis longtemps ... Aujourd’hui, l'extrême défectuosité de la voie pavée et le manque d'entretien des lices sont doublement et exclusivement imputables à la Mairie de Carcassonne. Sans aucun partisanisme politique.
RépondreSupprimerMerci d'avoir bien voulu donner votre avis sur une question qui me paraissait simple , je ne la repose pas , il n'a jamais été question d'interdire la circulation pour les services municipaux pompiers ambulances livreurs que sais je. Pour les pompiers je vous ferai remarquer qu'ils furent malgré l'avertissement de leur passage bloqués dans leur progression dans les rues de la Cité (c'était comique ça aurait pu être tragique si.... mais il n'y avait pas de si heureusement....) Maintenant concernant la voie pavée, qui est malgré les ans praticable , il faut admettre, que ce sont les utilisateurs qui ont détérioré toute la partie des lices de la Porte Narbonnaise au théatre, par endroits la terre dans les lices s'est affaisée de près d'un mètre, les utilisateurs ont des droits non contestables mais ont aussi des devoirs (commentaire précédent que j'approuve totalement)et notamment les respect de la chose publique faut il sanctionner ou laisser faire les groupes de pressions( ce n'est pas politique)qui fonctionnent souvent au chantage. De plus si les panneaux placés par Mr Dedolin ont disparu c'est me semble t-il non seulement un manque de respect pour Mr l'Administrateur mais également la preuve d'une situation anarchique, ingérable. Comme je le disais dans un de mes précédents messages il faudrait (sans être un moralisateur) faire passer les intérêts du monument avant les intérêts des utilisateurs parfois éphémères de la Cité. Merci encore de votre réponse
RépondreSupprimerAnton de Ciutad