Lundi de Pâques pour Los Ciutadins

Comme il est de tradition Les "Ciutadins" fêtent Pâques. Le temps fut un peu plus clément que l'an passé cependant le vent de chez nous, notre vent, bufabo comme il se doit, particulièrement dans cette Piège aux mille collines où los Ciutadins ont pris l'habitude d'effectuer une petite randonnée de 4 à 5 kilomètres avant un repas d'auberge espagnole. Plusieurs entrées, plusieurs salades, plusieurs plats, plusieurs omelettes, plusieurs desserts, plusieurs bouteilles.

le départ est donné par Guitou décontracté, le pas alerte, suivi par les randonneurs.

La troupe citadine va parcourir environ 5 kilomètres dans la campagne de la Piège, un pays que nous affectionnons particulièrement pour le calme, le silence, l’air pur et la beauté du paysage.

Eblouis par la lumière campagnarde les Ciutadins, lunettes de soleil sur le nez, prennent une réserve d'oxygène. Danièle, escortée par deux gardes du corps, loin de la pollution parisienne, oublia tous ses tracas professionnels. 

 Notre doyen Jean-Claude, aidé par Chanchou, gravit cette colline se faisant un honneur d'être un des premiers arrivé au sommet.

Cathy et Maïté ont le temps de prendre les photographies, avant l'arrivée du gros de la troupe.

Après l'apéro, le repas peut commencer, notre ami Gégé, spécialisé dans la cuisson des omelettes, nous en fit toute une série aux herbes fines, aux asperges, aux champignons, tandis qu'Alain le Sétois, lui, fut le rôtisseur attitré et fit cuire une bonne longueur de saucisse appréciée de tous. Brigitte et Alain nous avaient auparavant apporté des Tièles, spécialité culinaire de leur pays.

Le trou normand indispensable à la mi repas, fait d'un alcool dans lequel baigne depuis des années une poire fut fabriqué par notre ami André.

Repus et satisfaits par cette bien agréable journée les Citadins se quittèrent avec regrets et prévoyérent de refaire le Lundi de Pâque l'année prochaine dans cette même campagne.
La seule ombre au tableau fut l'absence d'Aline et de Robert, leurs fidèles amis depuis des années et des années qui, pour des raisons de santé ne purent être parmi nous.